A Valence, il y a pas mal de gens qui parlent tous seuls dans les rues. Ils ânonnent leur petite poésie urbaine pour les passants.
On peut entendre par exemple : « Qui a éteint les étoiles » (répété en boucle) ou « Je vais te n****** s*** e********** de ta m*** »
Parmi les festivaliers, l’information s’est répandue. Depuis mercredi, ces poètes du bitumes ne sont plus seuls avec le mistral, des scénaristes les suivent discrètement carnet à la main pour enrichir leurs futurs dialogues.
Arthur